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mercredi 19 avril 2017

Rendez-vous sur Hellocoton !

Samossas thon et mozzarella di Buffala

Hello !


Ça fait hyper longtemps que je ne vous ai pas proposé de recette sur le blog, pourtant c'est pas les idées qui manquent, c'est qu'il faut juste que je pense à faire mes photos quand je cuisine, et c'est pas toujours évident (faut que la cuisine soit décente – rangée quoi – que la luminosité soit bonne, que je sois motivée…), bref. C'est compliqué de faire de jolies photos de nourriture, mais là, je me suis lancée. Et bonjour le challenge de disposer une assiette de thon sur la table à découvert avec chaton assis sur sa chaise à sniffer l'air et prêt à sauter dessus, mais j'ai réussi (il est quand même plutôt bien éduqué et obéissant, il sait ce que non veut dire, il répond parce qu'il est pas content, mais il respecte… bon après si je me barre 5min il va pas m'attendre on s'en doute hein mais voilà).


Bon je ne suis pas là pour parler du degré d'obéissance de mon chat en fait. 
Je ne suis pas Joël Rebuchon (en vrai je l'appelle toujours "Reblochon", je sais, j'ai un humour de merde, mais moi ça me fait rire), mais j'aime cuisiner, et depuis que je ne mange plus de viande (je suis en train de stopper progressivement le poisson et les laitages aussi, mais c'est pas le sujet non plus), j'ai l'impression d'avoir retrouvé le goût de cuisiner puissance 1000. J'ai toujours été aventureuse en cuisine, et j'aime tester de nouvelles choses, découvrir des saveurs. Bref, là vous allez pouvoir constater que c'est tout l'inverse, parce que plus simple, y a pas. Mais simple n'empêche pas d'être efficace et délicieux. Je n'ai jamais été fan de mozzarella de bufflonne mais en Italie, la meilleure pizza de ma vie en était garnie, et j'ai redécouvert ce goût avec un autre œil. Dans une recette chaude, ce goût justement un peu particulier apporte une sorte de dimension à l'ensemble, sans forcément se distinguer nettement, et c'est bien meilleur selon moi que la mozza classique. Donc, pour éviter de perdre mes feuilles de brick, j'ai testé une tarte au thon revisitée en les utilisant à la place d'une pâte. Mon chéri est conquis tout autant que moi : on trouve ça au final bien meilleur comme ça.

J'ai donc utilisé les 4 dernières pour faire à peu près pareil, mais en samossas cette fois. Je vous ai partagé ça sur Instagram, et vous avez été super nombreuses (ok 2, mais ça me fait toujours tripper quand j'entends ou je lis ça) à me demander, voici ma recette. En fait les samossas c'est un des trucs les plus simples au monde : on plie en deux, on bourre avec tous les ingrédients, et on plie. Là on oublie le super simple. Petite astuce, si comme moi vous maîtrisez mal le pliage (ça devrait être simple, mais un coup sur deux ça tombe à côté…) : je prends de petits pics de bois achetés pour faire des brochettes à l'apéro, et je pique la feuille avec pour que ça reste fermé le temps de la cuisson. Une fois cuit, ça ne bouge plus. Allez, après cette introduction extrêmement longue voire pénible pour vous qui cherchez juste une recette, passons au principal. Vous allez voir que ça va aller super vite ; mis à part lister les ingrédients, je n'ai pas grand-chose d'autre à vous expliquer.


- 1 boîte de thon au naturel (petite) que je partage en 4 (et le jus à chaton)
- 1 boule de mozzarella di buffala (coupée en 4 aussi)
- de la moutarde (moi j'ai choisi celle à l'ancienne, mais celle que vous préférez c'est bien, je trouve que ça se marie bien avec le thon, ça réveille un peu le goût)
- des tomates, cerises ou non
- des aromates (sel, poivre, oignon et ail déshydratés pour moi, après c'est au goût de chacun)
- du persil et de la ciboulette du jardin #fiertéetbonheur (moi qui n'aimais pas le persil avant, j'en abuse carrément maintenant, si vous n'êtes pas fan, vous pouvez ne pas en mettre, ou remplacer par de la coriandre…)
- des feuilles de brick
- de l'huile de sésame pour badigeonner les samossas avant cuisson (au four pour moi, moins gras et tout aussi craquant)


Ensuite je passe à l'action : je plie les feuilles de brick pour obtenir un rectangle, et je garnis une petite partie à une extrémité avec tous mes ingrédients, préalablement préparés ; émincés, coupés en dés… selon le besoin. Une fois que c'est fait, je plie pour faire un triangle en 3 étapes (y doit y avoir environ 36.000 tutos sur internet pour voir comment procéder, et je suis loin d'être la meilleure prof). J'ai ensuite passé les triangles à l'huile avec un pinceau en silicone, et j'ai mis au four jusqu'à ce que ce soit bien doré. Je ne peux pas trop dire précisément combien de temps, mon four étant un peu trop efficace (il cuit une quiche en 15min), en à peu près 10min, c'était prêt. Mais de toute manière, il suffit de faire dorer les feuilles de brick et fondre leur contenu pour que ce soit chaud, ça ne nécessite pas 25min de cuisson.


Ensuite, sortez, servez, et dégustez ! Je vous avais prévenus, c'est simplissime. Et vous verrez que ce petit goût de la mozzarella fait vraiment une différence. Nous on adore les mélanges de jeunes pousses ou la roquette en général ^_^




mardi 11 avril 2017

Rendez-vous sur Hellocoton !

Le cas du blush rouge

Hello !


Je reviens aujourd’hui sur ce sujet bien particulier du blush rouge. J’en possède un, acheté sur un coup de tête en me disant qu’au pire, je pourrais toujours l’utiliser sur les yeux, si il ne faisait pas l’affaire sur mes joues.
Je me suis d’ailleurs souvent demandé qui mettrait du rouge vif en guise de blush. Seulement, avec du recul, quand je rougis naturellement, moi, c’est plutôt rouge que le joli rose poupée que je m’évertue à appliquer pour faire frais. Même si j’aime beaucoup ça et que je trouve le résultat très joli la plupart du temps, ce n’est pas ma teinte de « rougissement » naturel.
Comme je vous l’ai déjà dit sur le blog ou Instagram, je rougis hyper facilement, pour rien, à la moindre gêne, au moins effort. Je grimpe trois marche, je dis une bêtise et hop, je suis écarlate (voir le level supérieur surnommé « cramoisi bleu tendre » par ma grand-mère, et qui résume parfaitement bien la situation ; ça frôle le violet).



Bref. J’ai récemment vu passer sur plusieurs blogs/chaînes YouTube le blush en édition limitée CocoCode de chez Chanel : un magnifique quatuor contenant une subtile alliance de bronzer, d’highlighter et de blush… rouge. Et tout le monde en est dingue, et trouve ça génial.

Tout ça pour dire que, ça m’a permis de repenser au mien, rouge vif tout simple mais tellement beau malgré tout, puisqu’il a quand même le mérite de m’avoir fait craquer à l’époque. Et j’ai décidé de lui redonner une seconde chance. D’abord comme on pouvait s’y attendre, je ne l’ai jamais utilisé sur les yeux, et ça me peinait de le voir trainer au fond de mon tiroir à chaque fois que j’y plongeais la main à la recherche de mon blush du jour, en mode Motus.


J’ai donc tenté l’expérience, avec mon pinceau duo fibres ELF (qui de toute manière garde les séquelles à vie de sa seule utilisation pour mon unique participation au MondayMake Up Challenge). Et en vrai : j’adore !

Il se fond à merveille avec l’highlighter (que j’applique toujours en premier), et, appliqué en touche ultra légère, donne un résultat naturel et ultra frais !


 Je ne pensais pas que ça se verrait autant que j'ai fait ces photos à 7h du matin xD

Je passe mon pinceau dans la matière, sans trop appuyer, je tapote légèrement sur ma main pour enlever le surplus, et j’applique d’abord en tapotant, puis par effleurements circulaires, jusque vers les tempes. Je préfère m’y reprendre à plusieurs fois et le construire, que de finir comme un vieux clown en fin de carrière.

Au final, ce joli blush Sleek, très bon marché, a retrouvé une place dans mon cœur, et dans mon make up quotidien (ou presque, puisque je ne fais pas mon teint tous les jours NDLR), et j’en suis très contente. Malgré son prix, très abordable, ça m’aurait embêté de le laisser mourir à petit feu sans se rendre utile.



Je ne sais pas si vous appliquez du blush rouge, mais, si il y en a de cette teinte qui vous tente, je vous conseille de craquer, je pense que c’est une couleur trop peu utilisée en matière de blush. Je continue de loucher sur le Chanel, mais en attendant, j’ai quand même mon blush rouge ^_^

vendredi 7 avril 2017

Rendez-vous sur Hellocoton !

Rouges Long Lasting d'Essence : qualité maxi, prix mini !

Hello !


Tiens ça fait longtemps qu’on a pas parlé rouge à lèvres par ici ! Surtout que ça fait un moment que je veux vous parler de cette gamme, et le fait d’en avoir acquis deux de plus me l’a rappelé. J’ai découvert il y a quelques temps déjà la gamme des Long lasting de Essence, au détour du rayon beauté Auchan lors d’un week end en région Parisienne. A l’époque j’avais craqué pour un sublime rouge parfait (je vous ai d’ailleurs présenté ce fameux roue dans mon marathon sur Instagram, je ne l’oublie pas, avec le printemps je vais reprendre !), depuis, je suis retournée dans ce même rayon dans ce même Auchan, toujours à l’occasion d’un week end en région Parisienne (vous êtes ravis de le savoir), et j’en ai repris deux de plus, j’en aurais pris plus si ils avaient été dispo.

C’est le côté un peu vicieux des testeurs ; c’est pratique, mais en même temps cruel. Combien de fois j’ai craqué pour une teinte sublime qui n’est dispo qu’en testeur mais que je n’ai pas pu acheter. C’est le cas pour cette fameuse teinte 26 qui me reste en tête (et un peu en travers de la gorge =( ). Mais je l’aurais peut-être un jour qui sait ! Je passe un petit message d’ailleurs : je trouve carrément pas normal qu’on ait aucun point de vente Essence sur Rennes ou ses environs… A bon entendeur :P


Bref, cette gamme est donc décrite par Essence comme intense en couleur, confortable, et avec une excellente tenue de plusieurs heures, le tout sans dessécher, avec un éventail de teintes pouvant satisfaire n’importe quelle lipstick addict. Concernant l’éventail de teintes d’abord on ne peut qu’être d’accord, même sans les avoir testés. Des nudes, du peps, du sombre… il y en a vraiment pour tous les goûts ! Personnellement j’ai opté pour les teintes 02 All you need is red (la première, qui m’a fait tomber amoureuse de la gamme), 04 On the catwalk et la 06 Barely there.


All you need is red (outre son nom que j’adore) est un sublime rouge vif. Je suis carrément nulle pour savoir si il est chaud ou froid, si il a des sous tons ou non… Ce n’est pas vraiment mon rayon, mais moi je le trouve parfait, plutôt chaud et tirant très très très légèrement vers l’orangé, il n’est pas forcément si classique qu’il en a l’air. Il est vitaminé et j’adore le porter quand il fait beau ! C’est celui qui a le rendu le plus brillant sur les lèvres.


On the catwalk  est un rose brique, je ne vois pas comment le décrire autrement, même si je ne sais pas si ça veut dire quelque chose. Pas vieux rose, pas poudré, pas mauve… ni rouge. A la limite un peu framboise, mais avec un côté brique. Bon vous l’aurez compris vu comment je galère à le décrire ; c’est une couleur assez unique, et magnifique. Malgré tout, il est hyper portable au quotidien, plus que le rouge par exemple, si ce n’est pas votre tasse de thé, ou tout simplement si vous voulez quelques chose de plus discret en journée.


Barely there et un rose froid (enfin je crois) mais pas trop taupe ni mauve, pour les jours où j’ai envie d’un petit quelque chose de cool mais discret (cela dit je trouve qu’il se remarque plus que le rose). Un rien brun, je le trouve parfait pour le quotidien.

Concernant le packaging, je dirais qu’il est simple et efficace ; un tube noir mat classe, avec un anneau de couleur rappelant la couleur du raisin, et le logo de la marque sur le capuchon.
Le logo de la marque est aussi incrusté dans le raisin. C’est peut-être bête mais je trouve toujours ça du plus bel effet. Ça ajoute vraiment un touche singulière, car plusieurs marques le font, mais pas la majorité, et moi j’aime bien ^_^


La pigmentation est en effet au rendez-vous. Chacune des 3 teintes que je possèdes est à la hauteur des attentes qu’on peut avoir quand on lit le descriptif de la maque. C’est intense, uniforme et ça s’applique tout seul. La texture est hyper crémeuse, mais pour autant, le rouge à lèvres n’est pas vraiment brillant, plutôt satiné. Le confort, vu la texture, est top aussi, forcément. La forme du raisin est classique, un peu pointue, mais elle permet du coup une application vraiment facile ! Je préfère ça sans hésiter aux raisons ronds qui sont carrément galère.. Mais j’aurai l’occasion de vous en reparler lors d’un billet sur un gamme dont les raisins ont justement cette forme.

La tenue est, je trouve, exceptionnelle. Plusieurs heures sans aucun soucis, même en buvant, mangeant, papotant… La couleur et la matière s’estompent, mais les lèvres restent teintées, uniformément, pas de contour moche à redouter. Et c’est tellement cool, parce que j’ai ça en horreur x_x Cette semaine notamment j’ai beaucoup porté le rose On the catwalk ; j’ai fait ma retouche après manger, et jusqu’au soir, mes lèvres ont gardé cette jolie teinte rosée, même si elle « s’allège » un peu, on la voit.

 All you need is red
On the Catwalk
Barely There


Un point très positif que j’aime préciser et auquel j’attache de plus en plus d’importance, c’est aussi le fait que Essence s’oppose aux tests sur les animaux, et propose toujours de bons produits à des prix vraiment abordables. Ces rouges à lèvres pas exemple sont à moins de 4€ il me semble, vu leur qualité, c’est dérisoire ! Je regrette d’autant plus que ce soit si galère de trouver la marque sur Rennes…
J'ai toujours été nulle pour dessiner les cœurs, soyez indulgents <3